Où que j’aille, tu es le compagnon
qui me tient par la main et me conduit.
Sur cette route où je chemine, tu es mon seul soutien.
A mes côtés tu portes mon fardeau.
En marchant, si je divague, Toi tu me redresses :
Tu as brisé mes résistances.
O Dieu, tu m’as poussé en avant.
Tous les êtres, tous les hommes sont devenus mes frères bien-aimés.
Maintenant ta joie me pénètre et m’entoure.
Je suis comme un enfant qui joue dans une fête.
Tou Karan, boutiquier indien


Publié le
vendredi 17 avril 2015
à 13:38

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